Samedi 13 décembre : MARSTON MOOR + MELOCOTON
MARSTON MOOR
« Un bon rock sans dentelle … Une valeur montante du rock indépendant » (Ouest France)
« Un vrai travail de passionnés et d'acharnés » (Vendée Matin)
PLUS DE 60 CONCERTS...
En ouverture de groupes tels que
Deportivo, Asyl, Kill The Young, ou encore Blankass…, Marston Moor s'est crée une expérience de la scène qui font de leur apparition de véritable shows ! Du traditionnel caf'conc (Bib Kornus, Le Tie Break, Le Gaz Bar,...) aux scènes professionnelles, de salles (Fuzz Yon,...) en festivals (Ombres et lumières, Talus Talent, Takatouvidé,...) , Marston Moor a fait de la scène un véritable terrain de jeu où le plancher vibre, craque et respire à plein nez le rock n' roll !!!BIOGRAPHIE
«
Mourning Sun marque pour nous un véritable tournant musical » affi rment les membres du groupe. Formé en 2003, Marston Moor n'en est plus à son premier concert. Soutenu par le Fuzz yon (85) qui citera « Marston Moor appartient à cette famille de jeunes groupes qui jouent de la musique avec une facilité déconcertante », le trio fan des Smashing Pumpkins et de Chevelle se lance sur les planches et partage à ses débuts l'affi che avec Kill The Young ou encore Asyl. Reconnu pour sa capacité à allier puissance sonore et mélodies envoûtantes, Marston Moor s'offre en 2006 un premier disque autoproduit, «Fading Roses».2007 s'annonce comme une année de changements pour le groupe dont le line up change, évolue, le trio devient quatuor
! Tom (I Wish) derrière les fûts, et Martin (Symbiotic Stridulations) au clavier rejoignent Geo (basse) et Ron (guitare/chant) de la formation initiale. Ce nouveau line up renforcé et plus que rock n' roll marque un véritable virage musical pour le groupe qui les reconduit sur les routes en première partie de Deportivo ou encore de Blankass…ACTUS
En 2008, Marston Moor s'offre l'enregistrement d'une nouvelle démo «
Mourning Sun» composée entre la France et le Danemark avec l'aide de D.B. Freedman (Producteur Rob Zombie-USA). «Une force sonore évidente couplée d'une puissance vocale bien canalisée !» citera François Alaouret (chroniqueur pour Le Télégramme). En effet, entre l'hymnique «Missing In Here», et un «Before I Love You» empreint de pop rock anglaise, on ose aussi le second degré avec le tubesque «Porno Machine», c'est bien une nouvelle ère de Marston Moor qui s'annonce ici, et qui ne laisse pas sans réaction !Marston Moor apparaît clairement comme une belle réponse à ceux qui pensent que les bons groupes de rock proviennent uniquement d'Angleterre ou des Etats-Unis!
Après la
résidence effectuée au «Fuzz Yon» début septembre pour travailler les aspects scéniques et sonores, Marston Moor n'attend aujourd'hui plus qu'une seule chose : Cracher son énergie sur scène !DISCOGRAPHIE
Happendix 0.1 (Démo 2004)
Fading Roses (autoprod. 8 titres 2006)
Mourning Sun (Démo 2008)
LINE UP
Ron Wylde Moor - Guitare, Chant
Geo Tanakan - Basse
Tom Obzor - Batterie
Martin Stir - Claviers, Backing
Du son, des news, des vidéos sur www.marston-moor.com ou
Melocotón est formé en 2003 par trois amis de longue date. Bob (chant, guitare) et Rémy (guitare) jouent ensemble depuis le lycée. Mais ce n'est que bien plus tard, après que Flo se soit mis à la batterie, qu'ils décident de fonder un groupe.
Dès 2004, le groupe réalise une démo 8 titres qu'il enregistre par ses propres moyens. Le disque donne un premier aperçu du potentiel du groupe, et notamment du songwriting accrocheur de Bob. En 2005, la formation se stabilise avec l'arrivée d'Isa à la basse. Le groupe décide alors de recentrer son registre autour de sa facette la plus rock. Il compose de nouveaux morceaux qu'il enregistre sous forme de démos, afin d'en peaufiner les arrangements.
Les nouveaux titres alternent entre formats pop immédiats et structures plus ambitieuses, avec pour dénominateur commun des mélodies efficaces, des textes sombres et soignés, et une énergie à fleur de peau.
En 2006, Melocotón entre pour la première fois en studio, et enregistre le maxi « Entre les lignes ». Sur ce disque, le groupe met en avant sa facette la plus immédiate, tout en montrant son ambition (« Rien ne dure » et ses arrangements de cordes) et ses penchants post-rock (l'instrumental « Opium #2 »).
Le disque sort en octobre 2006 et reçoit de bonnes critiques dans la presse locale. Il permet en outre au groupe de remporter le tremplin nantais du Europe 2 Campus Tour, et d'assurer la première partie d'Asyl et Joseph d'Anvers devant plus de 500 personnes.
Le groupe, qui a une quarantaine de concerts à son actif, cherche désormais à jouer de plus en plus régulièrement. Il continue également à composer, en vue d'un premier album longue durée.